

C’est l’âge auquel Rodolphe, pas vraiment en phase avec le collège, quitte le système scolaire pour ne jamais le retrouver. Un parcours exceptionnel de « self-made man » !
C’est la superficie en mètres carrés de la nouvelle clinique vétérinaire inaugurée en 2017. On y trouve un scanner, un bloc de chirurgie, une salle de réveil et un laboratoire d’analyse médicale.
C’est le nombre d’animaux que l’on peut voir aujourd’hui dans le parc, répartis en 800 espèces sur 40 hectares.
En mètres, c’est l’altitude de la télécabine, «Le Nuage de Beauval». Depuis le 30 mars 2019, 24 cabines de 8 places survolent le zoo sur 800 mètres, permettant aux visiteurs de découvrir le parc sous un angle aussi original qu’impressionnant.
C’est le nombre de chambres d’hôtel disponibles aujourd’hui sur le site de Beauval. C’est en 2008 que Rodolphe Delord et son équipe décident de faire de Beauval une destination à part entière. Pour en arriver là, il a fallu beaucoup de prises de risques : plus de communication, plus de recrutement, plus d’investissements… D’après les « experts », ces hôtels ne devaient pas marcher. Il y en a trois aujourd’hui. Et ce n’est pas fini.
C’est à une dizaine près le nombre de salariés du site en 2019.
C’est l’année où Françoise Delord quitte Paris pour le lieu-dit Beauval à Saint-Aignan, avec son mari le prestidigitateur Jacques Delord, ses deux enfants Delphine et Rodolphe et sa collection d’oiseaux qui passera rapidement de 300 à 2000 spécimens.
C’est la décennie où, d’après Rodolphe Delord, se situe le point de bascule entre le zoo conçu et considéré comme simple lieu de divertissement et le zoo lieu de conservation de la biodiversité, avec programmes de recherches en éthologie, accueil de chercheurs, éco-responsabilité généralisée… Beauval a été l’un des premiers grands parcs zoologiques à s’engager fortement dans cette démarche et a participé au changement d’image des zoos en général.
C’est la somme annuelle en euros dépensée par le Zoo Parc de Beauval pour des projets de terrain, soit 30 à 35 programmes par an : protection d’espèces et de milieux naturels, réintroduction d’espèces, achat de forêts, lutte contre des espèces envahissantes, recherche, etc.
1,2 million de visiteurs en 2020
Un chiffre extraordinaire compte-tenu des 20 semaines de fermeture pour cause de Covid-19
Le Dôme Équatorial – la grande nouveauté 2020 après un chantier titanesque de 2,5 ans – a ouvert le 8 février : succès total, visiteurs conquis !
L’émerveillement des visiteurs aura été de courte durée car l’épidémie de Covid-19 a obligé le ZooParc de Beauval et ses hôtels à fermer leurs portes pour 11 semaines dès le 15 mars, un mois après l’ouverture.
La réouverture à partir du 2 juin a été une magnifique réussite : grâce à des mesures sanitaires strictes, les visiteurs ont pu profiter du 4ème plus beau zoo du monde, en plein air, pour se dépayser et voyager près de chez eux !
La fréquentation s’est bien lissée, tous les jours, dès le mois de juin. Résultat : + 16% de visiteurs sur juin-juillet-août. Septembre, octobre et les vacances de la Toussaint ont été aussi satisfaisants. Le 2ème confinement a stoppé net l’élan prévoyant de terminer 2020 sur une notre tropicale dans le Dôme pour les vacances de Noël…